Galerie photo - Académie de la Martinique

Galerie photo de l'académie de la Martinique


Derniers ajouts - histoire-geographie
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Les bâtiments d'exploitation de la plantation Belfort, au Lamentin.vu 467 foisLes bâtiments d'exploitation de la plantation Belfort assurent le conditionnement de la production. La plantation possède une société familiale de transformation des fruits tropicaux en fruits séchés créée en 1997, la société Caraïb'fruit.
Les camions chargent les containers et accèdent par une départementale à moins de quelques minutes des grands axes de communication de l'île. La banane représente près de 16 000 emplois directs et indirects en 2010.
12 Septembre 2013
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Le musée de l'Habitation Belfort, au Lamentin.vu 476 foisLe bâtiment d'accueil et le musée de l'Habitation Belfort consacré à l'agriculture locale et à l'industrie bananière. Cette plantation s'oriente désormais vers l' « agriculture raisonnée » en réduisant les épandages polluants. Elle pratique également l'agriculture biologique de fruits tropicaux divers et l'agritourisme.12 Septembre 2013
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Exploitations agricoles familiales le long de la Lézarde, vue de l'est.vu 450 foisEntre les cultures commerciales d'exportation (bananes), des cultures de type vivrier avec du maraîchage et de l'arboriculture s'étendent le long de la Lézarde. Les crues fréquentes de ce cours d'eau dont le bassin versant de 116 km² et le débit parfois multiplié par 300 (de 1,8 à plus de 500m3/s) contribuent à irriguer et fertiliser la plaine. Les haies d’érythrines protègent quant à elles, les plantations commerciales des épisodes cycloniques venus, avec l'alizé, de l'est.12 Septembre 2013
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Station d'épuration dans le quartier de Plaisance au Lamentin.vu 481 foisLa proximité d'une zone de confluence (Lézarde-Rivière Blanche), celle des zones agricoles et l'éloignement des grandes aires urbaines, obligent à un retraitement de l'eau autonome. Ici, la station d'épuration Plaisance-Désirade, du Lamentin, non loin de la Lézarde a une capacité de 3500 équivalent-habitants (EH). L'opérateur et le maître d'ouvrage est la CACEM, la Communauté d'Agglomération du Centre de la Martinique.12 Septembre 2013
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Les bassins de décantation des effluents de la SNYL, au Vert Pré (Le Robert).vu 555 foisLes eaux usées provenant de l'usine agroalimentaire sont retraitées avant d'être relarguées afin de prévenir les risques de pollution sur le bassin versant de la Lézarde. On voit ici l'action des brasseurs et des diffuseurs qui assurent la réoxygénation de l'eau. Cela permet aux bactéries (couleur rouge) de dégrader plus facilement les boues. On parle alors de « boues activées ».12 Septembre 2013
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La SNYL, Société Nouvelle des Yaourts Littée, au Vert Pré (Le Robert).vu 631 foisCette société agroalimentaire fondée en 1962, produit aujourd'hui près de 13 000 tonnes de laitages et de jus par an. Elle compte en 2010, 115 salariés. Dès l'origine, cette usine, spécialisée dans la production de yaourts et de jus, s'est établie à proximité de ses fournisseurs , sucrerie, arboriculteurs (goyaves, ananas, mangues notamment...) et surtout éleveurs bovins. La production est écoulée en direction du Lamentin à moins de 10 km et du Robert, deux des trois grandes aires urbaines de la Martinique.12 Septembre 2013
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Bâtiments de production et de stockage en chambre froide de la SNYL. (Le Robert)vu 562 foisLes installations se situent sur les terres de l'ancienne Habitation Directoire à proximité des principaux fournisseurs (éleveurs, arboriculteurs, sucrerie...), dans un paysage de bocage et de mornes.
L'agroalimentaire représente 45 % des effectifs salariés de l'industrie insulaire en 2010.
12 Septembre 2013
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Le bourg du Vert Pré (Le Robert).vu 562 foisGros bourg rural de 6000 habitants, il fait partie du Robert, la 3e commune la plus importante de Martinique. Situé dans les mornes, à plus de 300 mètres d'altitude, son économie est tournée vers l'agriculture familiale, l'élevage et l'agroalimentaire. 12 Septembre 2013
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Antennes relais pour la radio, la télévision et la téléphonie mobile non loin du Vert Pré (le Robert). vu 476 foisLa présence d'un relief difficile, constitué de mornes à plus de 300m d'altitude, oblige à densifier le maillage des réseaux de télécommunication notamment à l'intérieur des terres.12 Septembre 2013
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La Presqu'île de la Caravelle sur la côte au Vent, atlantique, vue de l'ouest.vu 410 foisSituée non loin d'une faille océanique active, elle constitue un des deux vestiges géologiques d'une petite île volcanique apparue il y a 30 millions d'années. Au premier plan, le Bois Neuf où l'on trouve encore des pétroglyphes amérindiens, la mangrove littorale au sud et les plantations de cannes à sucre. Au second plan, la zone artisanale et commerciale (ZAC) du Bac à la périphérie de la Trinité héberge grandes surfaces et maintenance automobile. Au dernier plan, le quartier Beauséjour de la Trinité.12 Septembre 2013
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Bassin de décantation des eaux usées de l'usine sucrière du Galion à la Trinité.vu 394 foisL'usine extrait l'eau de la canne à sucre pour en garder le saccharose sous sa forme solide. D'où l'importance de ses effluents et sa situation près de la rivière du Galion.12 Septembre 2013
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L'usine sucrière du Galion à la Trinité.vu 427 foisFondée en 1865, au débouché de la rivière du Galion sur l'Atlantique, cette usine demeure en 2010, la seule usine sucrière encore en activité sur l'île. Elle peut produire 32 tonnes de sucre par jour. Sa consommation en énergie serait équivalente à celle d'une ville de 17 000 habitants ; de là la nécessité d'utiliser la bagasse, les résidus de cannes à sucre, pour alimenter les chaudières. L'usine traite en période de récolte (de janvier à mai), 700 à 900 tonnes de cannes à sucre par jour. Elle se situe donc non loin de la Nationale 1 et des plantations de cannes à sucre de la côte au vent ; la manutention doit être rapide afin d'éviter la dégradation des cannes .12 Septembre 2013
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